La Biennale internationale du lin a remis ses prix

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Par Denise Paquin
La Biennale internationale du lin a remis ses prix
La vice-présidente de la BILP, Louise Richard, et la directrice de la biennale, Dominique Roy, ont dévoilé les gagnantes des prix du conseil d’administration de la BILP lors du vernissage le 22 août. Photo – Denise Paquin

Magdalena Sobon, de la Pologne, et Marie-Pierre Ranger, étudiante à l’Université Bishops, sont les lauréates des prix Coup de cœur et de la Relève de la 9e Biennale internationale du lin de Portneuf (BILP).

Les prix ont été dévoilés lors du vernissage de l’événement le 22 août à l’église de Deschambault. Le conseil d’administration de la Biennale a voulu récompenser deux parmi la quarantaine d’artistes pour la qualité de leur travail. Mme Sobon recevra une bourse de 1000$ et Mme Ranger, une carte-cadeau de 500$ échangeable chez De Serre.

Ce vernissage a eu lieu tardivement, en raison de la pandémie. Mais ce n’est pas le seul changement avec lequel les organisateurs ont dû composer afin de livrer cette édition. « Je peux vous dire que des revirements, on en a eu connus plusieurs depuis deux ans », a lancé la directrice de la Biennale, Dominique Roy. Elle a souligné que les artistes – 20 pour « Revirements » et 18 pour « Le fleuve en partage » – ont répondu à l’appel malgré les nombreuses contraintes. Les dignitaires ont souligné cette « édition hors de l’ordinaire [qui]  « permet la mise en valeur optimale des œuvres et des lieux », a déclaré le préfet Bernard Gaudreau.

Les expositions se poursuivent dans quatre lieux de Deschambault-Grondines selon un horaire modifié : jusqu’au 3 octobre au Vieux Presbytère de Deschambault et au Moulin de Lachevrotière ; les 3 et 11 septembre, de 10h à 16h, et sur rendez-vous les samedis et dimanches, jusqu’au 3 octobre, au Vieux Presbytère de Grondines (info@biennaledulin.com) ; et à l’église de Deschambault, du mercredi au dimanche, en se présentant au Vieux Presbytère avant.

On peut voir l’œuvre « Heartbeats » de Magdalena Sobon au Vieux Presbytère de Deschambault et celle de Marie-Pierre Ranger, « La vague de lin » au Vieux Presbytère de Grondines.

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