Cent ans dans la vie de Neuville

Photo de Alain Turgeon
Par Alain Turgeon
Cent ans dans la vie de Neuville
La Société d’histoire de Neuville a publié un 33e livre en 25 ans sur le passé de la ville.

La Société d’histoire de Neuville ramène encore une fois à l’avant-plan une tranche de vie qui a forgé la ville.

La Société d’histoire de Neuville publie son 33e ouvrage pour souligner ses 25 ans. «Neuville Chemin faisant» publié  dans la collection 100 ans noir sur blanc des Éditions GID raconte la vie à Neuville de 1860 à 1960.

Selon le vice-président de la Société d’histoire de Neuville, Jacques Vézina, le livre compte 208 pages avec des photos les plus significatives de cette période dont certaines remontent à 1895 et des textes descriptifs. La maison d’édition a imposé des critères sévères dans la réalisation de l’ouvrage.

La collection 100 ans noir sur blanc compte quelque 70 numéros sur des villages, des villes ou des régions du Québec, dont un sur la MRC intitulé «Portneuf : une mémoire en images». Chaque ouvrage réunit près de 200 photographies et textes historiques couvrant strictement la période de 1860 et 1960.

La Société d’histoire a choisi le titre du livre. Cet ouvrage permettra aux lecteurs de faire des découvertes sur des scènes de vie vécues dans des domaines culturel, social, sportif, économique, religieux, militaire, architectural, patrimonial. Il rappelle aussi certains événements marquants.

Ce travail piloté par le président de la Société d’histoire de Neuville, André Parent, accompagné de bénévoles engagés, s’est déroulé sur plus d’un an et demi. La Société d’histoire souligne «l’implication exceptionnelle de Madeleine Dubuc qui, à 90 ans, a été une source intarissable d’anecdotes et de récits historiques accompagnant les nombreuses photographies qu’elle a fournies».

L’ouvrage est tiré à 500 exemplaires. Déjà plus de 350 ont trouvé preneurs, dit M. Vézina. Il est en vente au coût de 28$ pour les membres ou 35$ pour les non-membres à la Société d’histoire. Le livre est aussi vendu dans toutes les librairies du Québec.

 

La «trépigneuse», une fendeuse à bois mue par un cheval qui portait le nom anglais de «horse power». Photo – image tirée du livre

 

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