Malgré des conditions exceptionnelles imputables à la pandémie de COVID-19, une cinquantaine de personnes ont relevé le Défi têtes rasées et ont réussi à amasser plus de 71 600$ pour Leucan.
Devant l’évolution de la situation en lien avec la COVID-19 et le resserrement des consignes de santé publique, la 10e édition de la campagne Défi têtes rasées Leucan de Portneuf s’est conclue avec la réalisation d’un défi virtuel au cours duquel une dizaine de participants dont oes coprésidents Sylvain Naud de Feuille d’érable-Charbonnerie ancestrale et Jean-René Côté, président-directeur général de Construction Côté et fils ont courageusement relevé le défi le 25 octobre.
Depuis le lancement de la campagne en février dernier, une quarantaine de participants de la région ont posé ce geste de solidarité envers ces enfants atteints de cancer qui subissent, lors de la chimiothérapie, une modification de leur image corporelle par la perte des cheveux. Ces courageux participants ont relevé le défi en privé ou en entreprise dans le respect des règles sanitaires en vigueur ou dans le cadre de défis virtuels organisés et animés par Leucan. De plus, plusieurs dons ont été faits lors du tournoi de balle de Saint-Raymond en septembre.
C’est avec enthousiasme que le montant total amassé jusqu’à maintenant par cette cinquantaine de participants de la région de Portneuf, et les collectes de fonds qui s’y rattachent, a été dévoilé : 71 650 $ et ce n’est pas fini, disent les coprésidents d’honneur.
«C’est toujours inspirant de voir la solidarité et la générosité de nos participants et donateurs», déclaré directrice provinciale et développement philanthropique à Leucan, Nathalie Matte. Elle a aussi souligné la contribution des coprésidents d’honneur et des fidèles partenaires au grand coeur depuis dix ans. Grâce à l’engagement de tous, Leucan peut offrir des services distinctifs et adaptés aux enfants atteints de cancer et leur famille dans la région, ajoute-t-elle. Mme Matte répète que les dons amassés permettent à Leucan d’être le principal bailleur de fonds de la recherche clinique, qui a fait passer le taux de survie de 15 % à 82 % en 20 ans.
