Le volleyball scolaire en essor dans Portneuf

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Par Stéphane Lépine
Le volleyball scolaire en essor dans Portneuf
L’entraîneur Jean-Nicolas Potvin-Côté et son équipe. (Photo : Offerte par Jean-Nicolas Potvin-Côté)

L’École secondaire Louis-Jobin de Saint-Raymond a accueilli, le 29 octobre, l’un des premiers tournois de la saison en volleyball scolaire dans la catégorie benjamin féminin. Huit équipes étaient sur place pour l’occasion, dont quatre de la région de Portneuf. 

L’un des responsables du tournoi, Jean-Nicolas Potvin-Côté, également  entraîneur et enseignant à l’école, est très fier de l’engouement croissant des élèves pour les sports scolaires « Le volleyball est en vogue. On a beaucoup d’inscriptions. Même qu’on a battu un record d’inscription pour tous les sports scolaires cette année. Notre but, c’est d’offrir le plus d’options possible pour que les jeunes s’inscrivent en grand nombre. » 

Le tournoi de Saint-Raymond servait au départ à classer les équipes pour déterminer leur calibre. Environ 90 joueuses y ont participé.  

Organisation des tournois 

Douze équipes de Portneuf sont inscrites dans les différentes catégories du Réseau du sport étudiant de Québec-Chaudières-Appalaches (RSEQ-QCA), soit quatre dans chaque école. 

Chaque organisation doit recevoir au moins un tournoi durant la saison. Avant le tournoi du 29 octobre, Saint-Raymond avait déjà reçu un tournoi de volleyball cadet féminin la semaine précédente.  

« Le RSEQ-QCA nous envoie l’horaire des matchs, les feuilles à imprimer et détermine les équipes que nous accueillons. C’est ensuite à nous d’organiser la logistique pour chaque équipe dans l’école, d’installer l’équipement avec la collaboration des joueuses, de trouver des marqueurs et des marqueuses et de voir au bon fonctionnement du tournoi », explique M. Potvin-Côté. 

Manque de gymnase 

La popularité du sport scolaire crée cependant un problème d’espace pour l’entraînement, constate Ève Bertrand, technicienne en loisirs de l’école, « La clientèle sportive de l’école augmente, mais on n’a pas plus de plateaux sportifs qu’avant. Par exemple, l’an passé, les équipes de basketball s’entrainaient deux fois par semaine. Cette année, ce n’est plus possible. » 

Il reste l’option des activités parascolaires du midi. Des ligues amicales se sont créées en volleyball et en basketball. Même que « les ateliers du midi ont créé un engouement, tellement qu’une autre équipe de volleyball a essayé de s’inscrire en saison régulière, mais les inscriptions étaient terminées », ajoute Jean-Nicolas Potvin-Côté. 

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