Été et crème glacée ont constitué un parfait mélange à l’occasion de la Fête de la crème glacée, à Deschambault. Fort de son succès, cet événement mondain créé par la chocolatière Julie Vachon à l’occasion de la Journée nationale de la crème glacée, le 17 juillet, est appelé à s’inscrire parmi les traditions estivales du Pôle gourmand de la municipalité.
Plus de 250 personnes ont pris part à ce premier rendez-vous qui s’est déroulé sous le soleil à la chocolaterie et à la crèmerie de la cheffe Julie Vachon.
Cette occasion aura donné une circonstance opportune de plus pour déguster les crèmes glacées artisanales à base de lait biologique local fabriquées par la Crèmerie Générale. Diverses garnitures originales étaient proposées pour le régal de tous les palais grâce aux productions maraîchères régionales.
Ambiance festive
L’ambiance a été festive grâce à plusieurs activités. Le « bar à sundae » et le jeu du cornet, qui lui se déroulait dans les anciens locaux de la caisse Desjardins, acquis par Julie Vachon, en faisaient partie. L’entrepreneure y déménagera son commerce en 2023. À cet endroit avaient aussi été aménagés, pour l’occasion, une station de maquillage et un photomaton.
Dans un coin à l’ombre près de là, le public pouvait retrouver un petit veau. « Pour marquer les esprits », rapporte David Casavant, du Pôle gourmand de Deschambault-Grondines. Mme Vachon a tenu à avoir une vraie vache pour sensibiliser la clientèle à l’importance de la provenance de nos ingrédients, leur qualité et leur fraîcheur étant garants de l’authenticité de nos recettes. Le petit veau a été l’animation qui a le plus impressionné les tout-petits. »
Du divertissement musical était proposé par l’entremise du « le piano-bar-laitier ». Trois musiciens, dont le réputé pianiste Martin Lizotte, ont performé devant la foule pendant la journée dédiée aux amoureux de la crème glacée.
Tradition en devenir
« La cheffe-propriétaire de la crémerie, organisatrice de l’événement, est ravie du succès remporté par la première présentation et promet la création d’une nouvelle tradition au village », indique M. Casavant.
