De nouveaux records pour les 15 ans du Noël d’antan

Photo de Mathieu Hardy
Par Mathieu Hardy

La frénésie du temps des fêtes et de l’Avent a gagné la place de l’Église et le Vieux-Chemin à Cap-Santé du 27 au 29 novembre. La configuration modifiée du petit village de maisonnettes, trois fois plus d’activités au programme, sans oublier une généreuse offre de spectacles et de divertissements mondains: voilà autant de surprises qui attendaient les visiteurs charmés d’avance par le caractère de ce marché de Noël sans pareil.

«On apprécie le Noël d’antan pour sa qualité! C’est différent, ça nous ressemble et on ne voit pas ça nulle part», ont spontanément dit au journaliste du Courrier Émile Lacasse et son épouse, de passage samedi après-midi. Le couple de Québec fait partie des milliers d’habitués qui ont redécouvert l’événement pour ses 15 ans.

Ceux qui ont manqué les éditions précédentes ont d’ailleurs pu remonter dans le temps grâce à une rétrospective photographique agrémentée par les articles publiés par le Courrier de Portneuf depuis la création du Noël d’antan en 2001.

L’ambiance renouvelée des lieux, entre autres par l’illumination de l’église et les nombreux spectacles, a métamorphosé l’événement, estime le président Denis Villeneuve. Le public aurait aussi apprécié, selon M. Villeneuve, les améliorations telles que l’élargissement des allées entre les maisonnettes et le service de navettes,

«Les marchands nous disent que c’est l’une de leurs meilleures années», a commenté M. Villeneuve quelques minutes après la fermeture du marché. Environ 70 commerces y ont fait des affaires dans une ambiance festive.

Si l’arrivée de saint Nicolas s’est déroulée sous la pluie vendredi soir et que moins de gens étaient rassemblés pour l’accueillir, le temps s’est embelli le reste de la fin de semaine, qui a été l’une des plus belles de l’histoire du Noël d’antan, d’après les organisateurs.

Sans avancer de données précises, Denis Villeneuve a maintes fois répété que la journée du samedi a été la plus achalandée de tous les temps. «On a manqué de billets de stationnement, alors ça peut prouver l’achalandage!» résume-t-il.

 

 

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