La culture du maïs: un savoir qui passe à l’histoire

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Par Denise Paquin
La culture du maïs: un savoir qui passe à l’histoire
Les gens qui veulent en savoir plus sur la culture du maïs à Neuville et l’histoire des familles productrices ont maintenant accès aux intéressants documents vidéos de la Société québécoise d'ethnologie.. Photo - Philippe Dubois

La saison des partys de blé d’Inde bat son plein. Les gens qui veulent en savoir plus sur la culture du maïs à Neuville et l’histoire des familles productrices ont maintenant accès aux intéressants documents vidéos de la Société québécoise d’ethnologie.

La Société a rendu hommage le 13 octobre dernier à 10 familles productrices de maïs sucré de Neuville pour leur contribution à la richesse du patrimoine immatériel des Québécois. Trois d’entre elles se transmettent le savoir-faire de génération en génération depuis que leurs ancêtres se sont installés à Neuville entre 1667 et 1673.

La recherche sur ces familles réalisée dans le cadre du programme de valorisation des porteurs de tradition s’est enrichie de quatre vidéos. Dans le premier, les producteurs expliquent les techniques de culture qui ont fait, entre autres, du maïs de Neuville un aliment si particulier qu’il a reçu son indication géographique protégée «Maïs sucré de Neuville» en 2017. Dans les trois autres, des familles ayant chacune 10 générations de savoir-faire racontent leur histoire.

La Société québécoise d’ethnologie a réalisé ce projet avec l’appui des partenaires du projet et les participants, dont la MRC de Portneuf, la Ville de Neuville, le député Vincent Caron, le ministre de l’Agriculture André Lamontagne, la Caisse populaire Desjardins de Neuville et le Laboratoire d’enquête ethnologique et multimédia de l’Université Laval.

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