Six ans après «Le frère du trapéziste», inspiré de la vie de son grand-père maternel, Denis Robitaille vient de publier son quatrième roman, «Jeune femme aux cheveux dénoués».
L’auteur de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier a de nouveau choisi l’art comme fil conducteur d’une histoire qui se passe, tout comme son précédent roman, entre le Québec et l’Europe.
Cette fois, à la veille du référendum de 1980, la peinture noue les destins d’Anne, qui fait la promotion d’artistes novateurs, et du courtier en art Jean Meunier.
Parmi les tableaux dans la chambre du courtier, le portrait d’une Juive, intitulé «Jeune femme aux cheveux dénoués», peint en 1942 sous l’occupation nazie, cache un douloureux secret. Dans ce roman qui se passe entre Québec et Paris, Anne aidera l’homme brisé à affronter le souvenir des horreurs de la guerre, découvrant que son destin et celui de la femme au portrait se croisent.
Denis Robitaille reste fidèle à ses thèmes favoris que sont l’histoire et l’aventure qu’il abordait déjà dans son premier roman «Une nuit, un capitaine» en 2005. Il a publié ensuite «Comme un refrain dans la ville», en 2009, et «Le frère du trapéziste», en 2013. Ce dernier a été finaliste du prix Ringuet de l’Académie des lettres du Québec.
Le roman «Jeune femme aux cheveux dénoués» est en librairie. Denis Robitaille participera à des séances de signature au Salon international du livre de Québec, au stand des Éditions Fides, le 12 avril, de 18h à 20h, et le 13 avril, de 12h à 14h.