L’année du 175e anniversaire de Saint-Raymond doit rester gravée dans les mémoires. C’est ce que souhaitent les organisateurs des festivités qui proposent encore aux Raymondois quatre rendez-vous à ne pas manquer d’ici la fin de l’année.
«Il y a deux ans, on trouvait ça loin. On est déjà à parler de la fermeture», a philosophé Philippe Moisan lors du dévoilement des activités le 12 septembre.
Afin de faire pendant à la fête de l’érable, le printemps dernier, le comité ajoute une activité pour tous à l’occasion de l’Halloween, le 27 octobre, au centre multifonctionnel.
Le déguisement sera à l’honneur, qu’il rappelle l’histoire locale ou la chasse, sport très prisé dans le secteur. La seule obligation sera de le faire à visage découvert «pour la sécurité et pour éviter un événement malheureux», a mentionné Jean Alain, directeur du service des loisirs et de la culture.
Le populaire groupe Tone Call animera la soirée en musique. Il s’agit d’un retour puisque les musiciens avaient dû déclarer forfait en raison de la pluie le 7 juillet dernier. Les 500 billets seront mis en vente, au coût de 5$, le 18 septembre.
Le président du comité organisateur Philippe Moisan mise, lui, sur le bal du maire, le 28 octobre, pour créer des souvenirs féériques. Seulement 275 personnes pourront participer à cette soirée mondaine sous le signe de l’élégance au centre multifonctionnel. «On veut que ce soit un événement extraordinaire, à l’image du 175e, mémorable», a lancé M. Moisan.
Tenue de soirée, cocktail, souper quatre services au son de l’accordéon et danse avec l’orchestre Tip Top seront au programme. Les cartes, au coût de 100$, seront en vente à partir du 18 septembre à la réception de l’hôtel de ville.
Puis ce sera déjà le temps de dire adieu à 2017. À quelques jours de la fin de l’année, la messe de minuit du 24 décembre s’inspirera de la seconde moitié du slogan des fêtes (Riche d’histoire, riche d’avenir) pour propulser la collectivité vers le futur, prévoit Philippe Moisan. L’année se terminera comme elle a commencé, en musique sur la place de l’église dans la froidure de la nuit du 31 décembre.
