Une centaine de personnes ont participé à la création de la murale collective sur la paix et l’environnement et une trentaine d’artistes ont peint les vitres des commerces, des résidences et sur des fenêtres sur chevalet qu’ils ont transportées au centre communautaire.
Le président de Fenêtre sur Saint-Basile, Alain Blanchette est satisfait. «Ç’a bien été malgré le temps frais», a-t-il dit. C’est un bon succès, soutient M. Blanchette, puisque l’objectif était de produire une oeuvre collective qui sera exposée en permanence au centre communautaire Ernest-J.-Papillon a été atteint. «C’est une murale à couper le souffle», a déclaré l’artiste André Bouchard qui dirigeait la réalisation.
Selon M. Blanchette, la présence de M. Bouchard a été «un plus» pour Fenêtre sur Saint-Basile. Elle a permis d’ajouter un volet à l’événement – l’oeuvre collective – et de compenser le mauvais temps. Le centre communautaire a été plus animé durant toute la fin de semaine, ce qui n’était pas le cas pour les éditions précédentes.
Les gens de Saint-Basile étaient aussi assoiffés d’histoire puisqu’une soixantaine de personnes ont rempli la bibliothèque pour entendre la conférence du président de la Société d’histoire, Charles Beaudry, intitulée «L’histoire sous nos pieds» le dimanche après-midi.
