Le Centre de recherches en sciences animales vise le monde

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Par Steeve Alain
Le Centre de recherches en sciences animales vise le monde

 

Les activités de recherche ont connu un bond important au cours des derniers mois, passant d’une trentaine l’année dernière à plus de 40 cette année. Selon le directeur général du CRSAD, Pierre Baril, il s’agit d’une année extraordinaire.

Trente-deux nouvelles ententes de partenariat en recherche et développement ont été signés durant la dernière année. Elles se sont ajoutées aux 13 projets amorcés avant le 1er avril 2015.

Selon M. Baril, le CRSAD a contribué pour 1,6 M$ aux projets de recherche, ce qui représente 40% du coût global des projets amorcés.

Les projets sont effectués en apiculture, en aviculture, en production bovine laitière, en production bovine viande, en production caprine et en production porcine.

Plusieurs partenaires publics et privés travaillent en collaboration avec le CRSAD. Universités et chercheurs bénéficient de l’expertise du centre.

Le président du conseil d’administration, Jean-Pierre Laforest, qui s’exprime dans le rapport annuel des activités, mentionne que le CRSAD s’est bâti avec les années une notoriété indéniable par la qualité de ses actions en recherche, le professionnalisme de son personnel et par son approche collaborative.

M. Laforest souhaite atteindre la vision de «centre d’excellence de recherche en sciences animales de classe mondiale».

Le député Michel Matte a repris ces propos lors de l’assemblée générale d’information le 9 juin. «Nous sommes chanceux d’avoir le CRSAD ici. Il faut voir grand et devenir un centre international. Il faut exporter les recherches», a-t-il dit.

Le député a mentionné que le centre reçoit une aide gouvernementale de 1,5 M$ de façon récurrente à laquelle ont été ajoutés 450 000$ en 2015-2016.

 

Nouveau contrat de travail

La vingtaine d’employés du CRSAD membres du Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) ont entériné au début du mois de juin l’entente de principe conclue avec la direction.

Le nouveau contrat de travail de trois ans prévoit des augmentations salariales de 1,5% chaque année.  La précédente convention collective était échue depuis le 31 mars 2015.

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